Introduction

Les vétérinaires et les propriétaires de chevaux se demandent souvent si ce sont des mauvaises herbes toxiques dans les pâturages ou les pacages qui sont à l'origine de syndromes comme la colique, l'alopécie, le prurit et la fourbure, quand ces symptômes surviennent pendant que les animaux sont au pâturage. L'investigation des intoxications dues aux plantes requiert l'examen des comportements alimentaires des chevaux, aussi des pratiques agricoles qui sont exercées, le tout en essayant de garder l'esprit ouvert.

L'investigation des possibilités d'intoxication par les plantes peut s'apparenter à la recherche d'une aiguille dans une botte de foin. On peut acquérir une connaissance considérable en déambulant dans un pâturage et en identifiant les principales plantes présentes, en prélevant des échantillons des végétaux qui sont broutés par les chevaux et en vérifiant les charges exercées par le bétail. Les échantillons sont par la suite remis à des spécialistes ou identifiés à l'aide de guides de référence. Les clôtures de nombreux pâturages sont souvent envahies de plantes potentiellement toxiques. Ces dernières ne posent pas problème à moins que les chevaux n'aient rien d'autre à se mettre sous la dent. Par conséquent, si on étudie les comportements alimentaires des chevaux et que l'on peut identifier les principales plantes des pâturages, l'investigation préliminaire sera plus facile en cas de problèmes.

Comportement des chevaux

Les chevaux se nourrissent de façon sélective et normalement ils broutent certaines zones comme un vert de terrain de golf et en laissent d'autres en herbes longues, et y font leurs besoins. Toutefois, ils ont aussi tendance à fureter à la recherche de quelque chose d'appétissant. Ils semblent aussi modifier leur comportement alimentaire l'été et l'automne puis l'hiver, pour commencer à brouter dans certains arbres en automne. D'ordinaire on n'a pas à s'inquiéter de la toxicité des plantes non broutées dans zones d'herbes longues. Dans la plupart des cas, des plantes toxiques peuvent être présentes dans les pâturages mais les chevaux n'y touchent pas à moins qu'ils n'aient rien d'autre à se mettre sous la dent. Voici un élément clé de l'investigation. La meilleure façon d'étudier un problème est de marcher seul dans le pâturage, sans être distrait par quelqu'un qui vous parle ou oriente vos pas. Recherchez les endroits où les chevaux se penchent au-dessus des clôtures, où ils ont brouté dans des arbres et des plantes, et où ils n'ont pas brouté. Tout végétal est important, y compris les arbres à l'intérieur du pâturage et ceux qui sont en surplomb, les herbes du pâturage, les plantes qui poussent dans l'eau et la matière végétale qui a été jetée ou empilée près des clôtures par des voisins.

Dynamique des végétaux

Pour en savoir plus sur la croissance des plantes, quelles sont les meilleures herbes de pâturage et les mauvaises herbes, et mieux en connaître les stades de croissance, voir la publication 505 F du MAAARO, Mauvaises herbes de l'Ontario et la publication 30 F, La production fourragère. Les mauvaises herbes dans les pâturages sont divisées en plantes annuelles, bisannuelles ou vivaces.

Les mauvaises herbes annuelles ne sont habituellement présentes que la première année (ensemencement du pâturage). Le sol contient une multitude de graines de mauvaises herbes annuelles à l'état de dormance qui germent lorsqu'il est remué. Parmi les mauvaises herbes annuelles, la sétaire verticillée (Setaria verticillata) et la moutarde des champs (Sinapis arvensis) peuvent potentiellement causer le plus de dégâts. La sétaire verticillée possède des épis avec des soies pointues munies de barbes pointant vers l'arrière. Comme ces barbes ne peuvent glisser qu'en une seule direction, elles peuvent facilement s'accrocher à la langue et aux gencives où, comme corps étranger, elles stimulent une salivation excessive ou provoquent une ulcération profonde, ou les deux. La moutarde des champs et le canola sont potentiellement toxiques pour les chevaux. Au Canada on a signalé l'intoxication de bétail après qu'il ait ingurgité du foin qui contenait une forte proportion de graines de moutarde. La moutarde des champs et le canola produisent, comme d'autres espèces de Brassica (chou vert, chou), des glucosinolates. Ce sont des produits capables d'inhiber le fonctionnement de la glande thyroïde. On rapporte que le bétail salive excessivement, puis qu'il chancelle, pour ensuite tomber et mourir. On n'a rapporté à ce jour aucune intoxication chez les chevaux.


Il est possible d'éliminer de plusieurs façons les problèmes causés par les mauvaises herbes annuelles dans les nouveaux pâturages/champs ensemencés de fourrages.
Pour les semis de printemps :

  • utiliser un herbicide sélectif l'année des semis;
  • faucher les champs à une hauteur pour couper les fleurs avant la grenaison, manœuvre seulement nécessaire la première année d'établissement du pâturage ou de la culture fourragère.

Le passage au semis direct à la fin de l'été ou au début de l'automne permet aux plantes annuelles de germer mais elles meurent durant l'hiver sans mise à graine.


Dans les pâturages plus anciens les mauvaises herbes sont en général des vivaces et elles sont le résultat d'une mauvaise gestion des pâturages ou de la présence d'anciens emplacements de clôtures. Par exemple, la prèle des champs (Equisetum arvense), qui ressemble à un pin miniature, pousse dans les zones humides du pâturage où il y a eu surcharge. On la retrouve souvent dans les pâturages des chevaux. La prèle des champs contient de la thiaminase, une enzyme qui entraîne une carence en thiamine (B1) chez les chevaux. La thiamine est normalement produite par synthèse microbienne dans l'intestin. À moins que les chevaux n'en consomment chaque jour (s'il y en a par exemple dans le foin), il y aura suffisamment de thiamine synthétisée pour éviter tout problème causé par l'ingestion occasionnelle de la mauvaise herbe. La fougère d'aigle (Pteridium aquilinium) provoque aussi une carence en thiamine. C'est une plante indigène répandue presque partout au Canada et elle est toxique si on l'incorpore au fourrage.


Dans les pâturages établis depuis plus longtemps, on peut réduire ou éviter les nombreuses mauvaises herbes en éliminant le surpâturage (par la rotation des pâturages), en épandant régulièrement des engrais, en coupant occasionnellement les pâturages, en épandant localement des herbicides au bon moment de la croissance des mauvaises herbes et en faisant des semis en sol gelé.


Parmi les mauvaises herbes vivaces, l'asclépiade, les laiterons des champs, la renoncule âcre et la bardane sont les plus indésirables. Les asclépiades (Asclepias spp.) sont des vivaces indigènes que l'on trouve dans l'Est du Canada dans les champs, les fossés et les terres incultes et elles sont nuisibles. Elles se reproduisent par les graines et se propagent à l'horizontale dans le sol par leurs racines qui donnent naissance à de nouvelles tiges feuillues. La plante contient des glucosides cardiotoniques qui sont toxiques pour les animaux. Normalement, le bétail trouve la plante désagréable au goût, mais durant une sécheresse, des moutons ont été intoxiqués. Les asclépiades sont difficiles à éradiquer parce que leur système racinaire est capable de bloquer si la présence d'herbicides est détectée.

La bardane est une bisannuelle nuisible parce que ses capitules sont couverts de piquants qui s'accrochent dans les crinières et les queues des chevaux. Une irritation de la bouche, de la langue et des dents peut provoquer une salivation excessive, de la bave ou faire mousser la salive, ou entraîner des ulcérations buccales. La sétaire verticillée, le Cenchrus longispinus et le framboisier causent aussi des irritations similaires. La bardane peut aussi provoquer des lésions oculaires et, si elle s'est accrochée dans le toupet du cheval, elle peut faire germer des graines dans l'œil. Le meilleur moment pour éradiquer la bardane est en juin et en juillet la première année des semis, quand les rosettes sont faciles à identifier avec leurs larges feuilles en forme de cœur à revers laineux. Le traitement individuel (pulvérisation de chaque rosette) au 2,4-D à ce moment permet d'éviter le pire l'année suivante pour les crinières et les queues des chevaux.

Fraîches ou séchées

Certaines plantes sont toxiques sous forme fraîche ou séchée, alors que d'autres perdent de leur toxicité une fois que le plant a été gelé ou séché. La renoncule âcre (Ranunculus acris) en est un bon exemple. À l'état frais, la renoncule contient un fluide amer ou âcre qui provoque une douleur et une inflammation grave, en plus d'une dermatite localisée au museau, comme une dermatite solaire. Toutefois, ce produit volatil se dissipe quelques jours après que la plante a été coupée ou gelée avec le foin. On a souvent vu des chevaux brouter des renoncules au pâturage après qu'il ait gelé à pierre fendre.

L'érable rouge (Acer rubrum) est un arbre indigène que l'on trouve dans l'Est du Canada. Dans l'Est des États-Unis, des chevaux ont été intoxiqués pour avoir mangé ses feuilles qui étaient flétries. L'anémie hémolytique survient dans les 1 à 5 jours de l'ingestion de feuilles fanées de l'érable rouge. On indique dans la Cornell Poisonous Plants Informational Database que l'acide gallique est la cause de la toxicité. Les symptômes d'intoxication sont semblables à ceux observés avec les Brassica (canola, chou vert, chou). Fraîches, les feuilles ne provoquent aucun symptôme mais une fois séchées ou flétries, si elle sont ingérées elles restent toxiques pendant 30 jours.

Les fruits et les feuilles du noyer noir n'ont jamais été désignés comme responsables de la fourbure (laminite). Cependant, on sait que des copeaux de noyer noir provoquent une fourbure chronique chez les chevaux. Quelques heures à peine après avoir été sur une litière contenant aussi peu que 20 % de copeaux de noyers noirs, les chevaux montrent des signes de fourbure chronique.

La toxicité de l'if est telle que l'ingestion de feuilles fraîches de même que de retailles de branches mène à une mort certaine. La famille de l'if comprend : l'if commun (Taxus baccata), l'if du Japon (Taxus cuspidata) et l'if du Canada (Taxus canadensis). La pulpe charnue du fruit est la seule partie considérée inoffensive (ou à faible toxicité) du végétal. La taxine en est l'élément toxique. C'est un mélange complexe d'alcaloïdes qui est rapidement extrait du tube digestif et qui interfère avec l'action du cœur. La taxine reste toxique même si le végétal est sec. On estime la dose létale entre 0,5 et 2 g/kg pour les chevaux (0,05 % du poids corporel, ou 0,5 lb pour un cheval de 1 000 lb).

On sait que le trèfle alsike provoque de la photosensibilisation et des dommages au foie ou l'agrandissement de cet organe. Malgré le fait que la toxicité en ait été décrite depuis 70 ans, la toxine reste encore méconnue. C'est croit-on une mycotoxine provenant d'un champignon. À court terme les chevaux sont atteints de photosensibilisation, les dommages au foie et l'agrandissement de cet organe sont souvent associés à une exposition à long terme. Le problème a surtout été observé chez les chevaux, à l'occasion seulement chez les bovins. Par conséquent, l'éleveur qui ensemence ses pâturages ou ses pacages doit s'assurer que le mélange de semences ne contient pas de graines de trèfle alsike.

Le sarrasin (Fagopyrum esculentum) et le millepertuis commun (Hypericum perforatum) entraînent une photosensibilisation primaire. La photosensibilité est une réaction semblable à un coup de soleil qui résulte généralement de l'ingestion d'agents photodynamiques. Ces agents se déplacent vers la peau, ils sont exposés à la lumière UV, deviennent fluorescents et provoquent des dommages oxydatifs aux cellules cutanées et la perte de couches de la peau. La photosensibilisation secondaire se produit avec le séneçon jacobée (Senecio jacobaea), le séneçon vulgaire (Senecio vulgaris), l'amsinckie intermédiaire (Amsinckia intermedia), l'héliotrope commune (Heliotropium spp.), la vipérine commune (Echium vulga) et la ludwigie à feuilles alternes (Crotolaria spp.). Ils contiennent un alcaloïde de type pyrrolizidine qui provoque une photosensibilité hépatogène (associée au foie).

Les intoxications par les plantes peuvent être facilement évitées par une bonne gestion continue des pâturages, p. ex. le désherbage, et une bonne connaissance des principales plantes toxiques de la région.

Des indésirables pour les végétaux - champignons et mycotoxines

Les herbes des pâturages, le foin, les céréales et la paille peuvent tous favoriser la croissance de champignons divers. Ces derniers peuvent exister sous la forme de saprophytes et soutirer du végétal des éléments nutritifs sans avantage pour ce dernier, ou ils peuvent coexister avec lui dans une relation symbiotique, en offrant des avantages tout en s'en nourrissant. C'est un sujet trop complexe pour l'aborder ici, cependant pour plus de renseignements on peut consulter les références données plus loin.

Fusarium est un champignon qui pousse principalement sur les grains de céréales, p. ex. le maïs et le blé, et il produit des mycotoxines pouvant nuire à divers animaux si elles sont ingérées ou inhalées. Les espèces de fusarium peuvent aussi survivre dans les cultures fourragères utilisées pour les fourrages et les pâturages des chevaux. La toxine produite par le champignon est la plus nuisible, mais les spores fongiques peuvent être inhalées, devenir allergènes et entraîner des maladies respiratoires. Les propriétaires de chevaux doivent se méfier de la menace potentielle d'une présence élevée de fusarium et des mycotoxines associées quand l'automne est pluvieux, surtout dans le maïs et ses sous-produits. Habituellement les grains de blé ne contiennent pas de hauts niveaux de mycotoxines. Toutefois, les années à fortes précipitations au moment de la formation des graines et de l'épi, les teneurs en fusarium et en mycotoxines sont importantes. Ces dernières se retrouvent dans le grain, aussi dans la paille et tous les sous-produits, comme le son et le remoulage bis. Voir la fiche d'information du MAAARO intitulée L'effet des moisissures sur les chevaux pour plus de détails.

Neotyphodium coenophialum était auparavant appelé Acremonium coenophialum. C'est le champignon endophyte qui produit les mycotoxines à l'origine de la maladie que l'on appelle «toxicité de la fétuque». Les mycotoxines de la fétuque infectée par les endophytes (le champignon effectue son cycle de vie complet à l'intérieur de la plante) appartiennent à la classe de composés appelés «ergot» ou plus précisément «alcaloïdes de l'ergot» (ergopeptine). On sait qu'ils ont provoqué la dystocie (accouchement difficile) chez les juments et la mort périnatale des foals (morts-nés et nouveaux-nés) aux États-Unis. Par conséquent, toujours s'assurer que les semences pour les pâturages et les pacages ne contiennent aucune variété de fétuque infectée d'endophytes.

L'ergotisme est le syndrome clinique causé par le champignon du genre Claviceps. C'est probablement la mycotoxicose la plus ancienne connue. Les alcaloïdes de l'ergot Claviceps purpurea sont hallucinogènes chez l'humain et on les retrouvent dans plusieurs histoires de sorcellerie. L'ingestion de pain de seigle infecté a été reliée à la maladie chez l'humain depuis plus de 2 000 ans. Le genre Claviceps peut survivre sur une diversité de foins et d'herbes de pâturages et produire des organes de fructification sur le pâturin et les grains de seigle. Sur une ferme ontarienne, des juments à la gestation lente avaient ingéré de leur litière en seigle et elles ont été affectées d'un syndrome clinique semblable à la toxicité de la fétuque (placentas épaissis oedémateux, agalactie et sept morts périnatales de foals) sauf que les juments ont mis bas à la date normale prévue. Voir la fiche d'information du MAAARO intitulée Toxicité de l'alcaloïde de l'ergot (ergopeptine) dans le foin et le pâturage pour chevaux pour plus de détails.

La recherche sur les effets des mycotoxines sur les chevaux en est à ses premiers balbutiements, aussi on recommande règle générale de fournir aux chevaux des litières qui en sont exemptes, et de les nourrir avec du foin et du grain aussi exempt de mycotoxines. On sait que les juments qui accouchent avec du retard sont très sensibles aux alcaloïdes de l'ergot et par conséquent, elles ne devraient pas avoir une litière en paille de seigle ni recevoir de foin ou de chaume infectés d'endophytes. Par conséquent, il importe de s'assurer d'utiliser des mélanges de semences pour les pâturages ou les fourrages qui contiennent de la fétuque élevée et du ray-grass vivace qui sont garantis sans endophyte.

L'investigation

Le plus difficile dans l'investigation d'un problème de toxicité est de déterminer ce qui est normal ou pas. Voici l'information qu'il faut recueillir à la base.

  • Quelle est la densité de logement - le nombre de chevaux à brouter par acre?
  • Est-ce que le pâturage ou le fourrage entreposé fournit la plus grande partie de l'alimentation des chevaux chaque jour? Si du fourrage entreposé est servi, de quelle qualité d'aliments s'agit-il? Pouvez-vous estimer la teneur en protéines et par conséquent, la valeur alimentaire relative?
  • Quels sont les arbres et autres végétaux présents dans le pacage ou le long de la clôture? Si vous ne pouvez les identifier vous-même, apportez-en des échantillons à quelqu'un en mesure de le faire.
  • Quelles espèces de plantes sont broutées? Recueillez des échantillons.
  • Quelles espèces de plantes ne le sont pas?
  • Évaluez l'apport total en éléments nutritifs provenant de toutes les sources.
  • Qu'est-ce qui ne semble pas à sa place? Y a-t-il une source d'alimentation ou un type de végétal que l'on ne voit pas habituellement sur les élevages de chevaux, p. ex. de la famille des euphorbes ou du noyer noir?
  • Quel type de foin a été acheté? De quel fournisseur provient le foin acheté?

L'investigation est un processus dans lequel il faut garder un esprit ouvert, se documenter sur les types de plantes, les quantités qui sont données, noter les numéros de lots des aliments pour animaux et conserver des échantillons représentatifs (au congélateur, en trois exemplaires) des matières végétales potentiellement toxiques.

Plusieurs des sources qui ont servi à la recherche et à la rédaction de la présente fiche d'information sont disponibles sur la page Web du ministère intitulée Les chevaux - Fourrages.

Voici une liste d'excellentes sources :

  1. Hall JO, Buck WB, Cote LM. Natural Poisons of Horses, 2nd ed. Urbana, Illinois: National University Poison Control Center, 1995.
  2. Kingsbury JM. Poisonous Plants of the United States and Canada. Englewood Cliffs, New Jersey: Prentice-Hall Inc., 1964.
  3. Knight AP, Walter RG. A Guide to Plant Poisoning of Animals in North America. Jackson, Wyoming: Teton NewMedia, 2001: 142-150.
  4. Mulligan GA, Munro DB, Plantes toxiques du Canada, Agriculture Canada, Ottawa, Ontario, Publication 1842/F, 1990
  5. Alex JF, Mauvaises herbes de l'Ontario, Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario, Guelph, Ontario, Publication 505 F, 2001
  6. Upfold RA, Wright HC, La production des fourrages, Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario, Guelph, Ontario, Publication 30 F, 1994.
  7. Système canadien d'information sur les plantes toxiques
  8. Cornell Poisonous Plants Informational Database

Cornell Poisonous Plants Informational Database (disponible en anglais seulement)

L'effet des moisissures sur les chevaux

Les chevaux - Fourrages

Système canadien d'information sur les plantes toxiques

Toxicité de l'alcaloïde de l'ergot (ergopeptine) dans le foin et le pâturage pour chevaux

 


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