Avril 2021
Préparé par le :
Bureau de la géomatique
Ministère des Transports, Ontario
St. Catharines
Cartographie parcellaire et référence géographique
Bureau de l’arpenteur général
Ministère des Richesses naturelles et des Forêts

Avis de non-responsabilité

Ce document technique a été préparé par Sa Majesté la Reine du chef de l’Ontario, représentée par le ministère des Transports de l’Ontario et le ministère des Richesses naturelles et des Forêts (les « ministères »). Aucune garantie ou déclaration, explicite ou implicite, obligatoire ou autre ne s’applique ou n’est faite par les ministères à l’égard du document, de son exactitude ou de son intégralité. Les ministères ne seront en aucun cas tenus responsables des pertes de profits, de revenus ou de gains, des réclamations de tiers ou de tout dommage-intérêt économique, indirect, spécial, accessoire, consécutif ou exemplaire découlant des erreurs, inexactitudes ou omissions dans le présent document. La responsabilité des ministères pour de telles erreurs, inexactitudes ou omissions dans le cadre d’une réclamation, procédure ou action particulière ne dépassera en aucun cas la contrepartie réelle payée par le demandeur concerné aux ministères pour les documents auxquels cette documentation pédagogique se rapporte. Sauf dans le cas de la responsabilité expressément prévue ci-dessus, les ministères n’ont aucune obligation ou responsabilité ni aucun devoir, qu’ils soient d’ordre contractuel, délictuel ou autre, y compris toute responsabilité ou négligence. Les limites, les exclusions et les avis de non-responsabilité susmentionnés s’appliquent, quelle que soit la nature de toute cause d’action, demande ou action, y compris, sans toutefois s’y limiter, la violation de contrat, la négligence, la responsabilité stricte, le délit ou toute autre théorie juridique, et survivent à toute violation fondamentale.

Introduction

Le présent document définit les normes minimales à respecter lors de l’établissement de canevas altimétriques de premier ordre, deuxième ordre, deuxième ordre B et troisième ordre (repères géodésiques) à l’aide du nivellement numérique pour le ministère des Transports de l’Ontario (MTO) et le ministère des Richesses naturelles et des Forêts de l’Ontario (MRNF), ainsi que tous les projets qui seront inclus dans la base de données géodésiques provinciale, connue sous le nom de COSINE. Il regroupe les parties pertinentes des spécifications et des recommandations pour les levés de contrôle les repères (Ressources naturelles Canada, 1978), des spécifications provisoires pour le nivellement numérique du ministère des Richesses naturelles et des Forêts (2017) et des spécifications de levé de contrôle altimétrique du ministère des Transports de l’Ontario (2018) en un seul document de spécifications complet pour l’Ontario. Toutefois, toute exigence spécifique dans le cadre de référence contractuel d’un projet prévaut sur les exigences générales du présent document de spécifications.

Définitions

Aux fins du présent document, les définitions suivantes s’appliquent :

Boucle de nivellement
Série de cheminements aller et retour entre les repères primaires.
Cheminement
Cheminement unidirectionnel qui commence à un nouveau repère géodésique ou un repère géodésique publié et qui se termine à un nouveau repère géodésique ou un repère géodésique publié différent.
Repères primaires
Repères géodésiques existants ayant des hauteurs publiées qui ont été vérifiées au moyen d’une vérification de la stabilité des repères (consulter la Vérification de la stabilité des repères).
Section
Partie du cheminement de nivellement entre des repères adjacents.
Mise en station
Observations du nivellement entre deux points adjacents (repères ou points de retour). Une mise en station comprend une visée arrière et une visée avant.

Spécifications générales — Applicables à tous les ordres

  • L’équipement de nivellement numérique doit être utilisé. Les spécifications de précision de l’équipement doivent respecter ou dépasser les spécifications de précision de l’ordre de nivellement réalisé.
  • Un espace d’au plus 3 kilomètres doit séparer les nouveaux repères.
  • Au moins deux liens de nivellement doivent provenir de chaque nouveau repère ou repère publié existant le long du cheminement entre les repères primaires.
  • La distance de visibilité maximale de la mire ne doit pas dépasser 60 mètres, à moins qu’une distance de visibilité maximale plus courte soit recommandée par le fabricant de l’équipement.
  • La lecture minimale de la mire ne doit pas être inférieure à 0,5 mètre sur toute la longueur de la boucle. De plus, le fil stadimétrique supérieur doit être visible sur le code à barres lors de l’enregistrement des observations.
  • Pour les repères installés sur des surfaces horizontales, la mire de nivellement doit toucher le repère à la marque centrale ou la surface supérieure de la borne.
  • Pour les repères installés sur des faces verticales ou des murs, la mire de nivellement doit être fixée à un « ciseau » de nivellement précis (ou l’équivalent) qui s’installe sur la base de la mire de nivellement et qui peut être inséré dans la fente, au centre de la borne.
  • Éviter la lecture à des distances qui, selon les fabricants, peuvent causer des lectures erronées de la mire.
  • La différence entre les distances des visées arrière et avant à chaque mise en station ne doit pas dépasser 5 mètres et la somme des différences pour toutes les mises en station de chaque section et cheminement ne doit pas dépasser 10 mètres.
  • Tous les cheminements doivent avoir un nombre égal de mises en station de l’instrument. Une seule mise en station sera autorisée lorsque la distance entre les repères est inférieure à 100 mètres et que la même mire est utilisée aux deux stations.
  • Observer les boucles de nivellement entre tous les repères primaires. Réaliser des cheminements aller et retour indépendants à différents moments de la journée et dans différentes conditions météorologiques, dans la mesure du possible. Voir l’exception pour le nivellement de troisième ordre (consulter la Spécifications relatives au troisième ordre).
  • Si l’écart entre les cheminements aller et retour dépasse la fermeture de cheminement spécifiée pour cet ordre, il faut procéder au renivellement du cheminement jusqu’à ce que l’écart ne dépasse plus cette fermeture.
  • Répéter chaque lecture de la mire (visée) deux fois. À chaque mise en station, les visées arrière et les visées avant doivent être lues et enregistrées au format Backsight Foresight Foresight Backsight (BFFB).
  • Tous les repères géodésiques existants le long du cheminement d’un ordre égal ou supérieur aux nouveaux repères établis doivent être nivelés (consulter l’annexe C, l’annexe D — Partie I et l’annexe D — Partie II — Conception du réseau).
  • S’il n’existe pas de repère publié sur une distance de 10 kilomètres le long du cheminement, au moins un repère d’un ordre égal ou supérieur se trouvant dans les 3 kilomètres du cheminement, le cas échéant, doit être rattaché (consulter l’annexe C et l’annexe D — Partie I ainsi que l’annexe D — Partie II - Conception du réseau).
  • De nouveaux repères peuvent être établis entre les repères primaires et doivent y être liés à l’aide de cheminements aller et retour. Voir l’exception pour le nivellement de troisième ordre (consulter la Spécifications relatives au troisième ordre).
  • Tous les points de jonction doivent être abornés (consulter l’annexe A — Abornement pour connaître les types de bornes à utiliser).
  • Les structures en béton stables excluent les trottoirs (à moins d’une autorisation délivrée par l’organisme émetteur pour le canevas altimétrique de troisième ordre), les petits ponceaux en béton, les petits caissons ou les bases de lampadaire standards et les bordures de trottoir. Les structures en béton suggérées comprennent les grands ponceaux en caisson, les bases de lampadaire à haut mât, les fondations de bâtiment et les culées ou piliers de pont.

Intégration du canevas altimétrique du réseau primaire

Les repères primaires dont l’ordre est égal ou supérieur aux nouveaux repères établis doivent englober la zone du projet. Avant d’établir de nouveaux repères, les hauteurs publiées de ces repères primaires doivent être vérifiées au moyen d’une vérification de la stabilité des repères (consulter la Vérification de la stabilité des repères ci-dessous).

Un minimum de trois repères primaires pour le nivellement de premier ordre ou de deux repères primaires pour le nivellement de deuxième ordre, de deuxième ordre B et de troisième ordre est requis à chaque limite du projet. Chaque paire de repères primaires ne peut se situer dans la même structure et une distance suffisante doit les séparer (de préférence, une distance minimale de 0,5 kilomètre), de sorte que tout effet perturbateur dans la zone ne soit pas le même sur ces repères. Pour le nivellement de premier ordre, il est recommandé de séparer les trois repères primaires requis à chaque limite du projet d’au moins 1,0 kilomètre, dans la mesure du possible, afin de fournir les références de hauteur les plus stables pour le réseau de nivellement à ce niveau élevé de précision. Consulter l’annexe C sur l’intégration de repères primaires dans un réseau de type linéaire. Consulter l’annexe D — Parties I et II sur l’intégration de repères primaires dans un réseau de type bloc ou municipal.

Vérification de la stabilité des repères

La vérification de la stabilité des repères consiste à effectuer un nivellement en avant et en arrière entre des repères primaires connus, à chaque limite du réseau, et à comparer la nouvelle différence de hauteur nivelée observée à la différence de hauteur nivelée publiée. La différence de hauteur nivelée observée est la moyenne des cheminements aller et retour. La différence entre les cheminements aller et retour doit respecter les exigences d’écart de fermeture pour l’ordre de nivellement effectué. Si les exigences d’écart de fermeture sont respectées, on fait la moyenne des deux observations et on les compare à la différence de hauteur publiée. Si l’écart de fermeture entre la différence de hauteur observée (moyenne) et la différence de hauteur publiée se situe dans les spécifications de fermeture admissibles pour l’ordre de nivellement effectué, les repères sont considérés comme stables. Si l’écart de fermeture dépasse les spécifications de fermeture admissibles pour l’ordre de nivellement, un ou plusieurs des repères sont alors considérés comme instables et des repères supplémentaires doivent être vérifiés en utilisant la même méthode jusqu’à ce que la spécification de fermeture entre les repères publiés soit respectée. Consulter l’annexe E pour voir des exemples de calculs de vérification de la stabilité.

Réseaux de type bloc

Lorsque l’on effectue le nivellement numérique de réseaux qui ne forment pas des connexions strictement linéaires, mais qui ont plutôt une conception de type bloc avec des connexions partant dans diverses directions, certaines vérifications supplémentaires doivent être effectuées pour en assurer l’exactitude. Pour les réseaux de type bloc (qui sont généralement le plus souvent associés à des projets municipaux), des vérifications supplémentaires de la stabilité doivent être effectuées dans la zone du réseau de nivellement et un certain pourcentage des repères existants dans la zone du réseau doit être occupé pendant les exercices de nivellement. Le pourcentage de repères existants à occuper dépend de la taille du réseau, de l’exactitude ou de l’ordre des repères existants dans la zone, ainsi que du nombre de repères existants dans la zone du réseau de nivellement. Ces exigences seront évaluées en fonction de la conception du réseau, de l’accès aux stations existantes et de la consultation avec l’organisme émetteur (la municipalité). En règle générale, la proposition de réseau doit essayer d’occuper au moins 20 à 25 % des repères existants dans la zone de la municipalité ou du projet. Les propositions doivent être soumises au programme de cartographie parcellaire et de référence géographique du Bureau de l’arpenteur général pour tous les levés géodésiques de type bloc avant que les travaux sur le terrain ne soient effectués.

Les réseaux de type bloc (municipaux) qui couvrent une superficie de plus de 25 kilomètres carrés (ou environ cinq kilomètres sur cinq kilomètres) doivent être constitués de quatre boucles interconnectées (ou plus) qui permettent de vérifier indépendamment la fermeture des boucles et d’isoler les erreurs d’observation possibles au sein du réseau. Consulter l’annexe D — Partie I.

Les réseaux de type bloc (municipaux) qui couvrent une superficie de moins de 25 kilomètres carrés (ou environ cinq kilomètres sur cinq kilomètres) doivent être constitués d’au moins deux boucles interconnectées (ou plus) qui permettent de vérifier indépendamment la fermeture des boucles et d’isoler les erreurs d’observation possibles au sein du réseau. Consulter l’annexe D — Partie II.

Spécifications relatives au premier ordre

  • Les bornes doivent être des bornes courtes fixées dans des structures rocheuses ou en béton stables ou des médaillons fixés à des barres de fer rondes d’une longueur de 3,0 mètres et d’un diamètre de 25 millimètres enfoncées à au moins 30 centimètres dans le sol. Le nom complet de la station doit figurer sur le médaillon.
  • Une paire de mires étalonnées en invar doit être utilisée pour tous les nivellements. Toutes les paires de mires en invar doivent être accompagnées de documents à l’appui indiquant qu’elles ont été étalonnées au cours des deux dernières années. L’étalonnage en usine de nouvelles mires en invar est acceptable.
  • Le test des deux piquets doit être effectué au début du projet, puis quotidiennement, ou plus fréquemment si l’opérateur estime que l’instrument a été compromis. L’erreur de collimation doit être inférieure à 0,05 millimètre par mètre.
  • Répéter chaque lecture de la mire (visée) quatre fois. À chaque mise en station, les visées arrière et les visées avant doivent être lues et enregistrées au format Backsight Foresight Foresight Backsight (BFFB), puis répétées une deuxième fois.
  • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc  :Les réseaux de nivellement doivent être constitués d’au moins quatre boucles de 25 km (ou moins) de longueur.
  • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc : Une troisième vérification valide de la stabilité est requise à proximité du milieu du réseau ou, à défaut, sur le périmètre de celui-ci.

Spécifications relatives à la fermeture de premier ordre

  • L’écart de fermeture maximal de la section et du cheminement entre les cheminements indépendants aller et retour doit être inférieur ou égal à 4 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤4 mm * √km
  • L’écart de fermeture maximal de la boucle de nivellement entre la somme des cheminements aller et retour doit être inférieur ou égal à 4 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤4 mm * √km
  • Lorsque le nombre de kilomètres correspond à la distance le long du parcours de cheminement en kilomètres.

Spécifications relatives au deuxième ordre

  • Les bornes doivent être des bornes courtes fixées dans des structures rocheuses ou en béton stables ou des médaillons fixés à des barres de fer rondes d’une longueur de 1,8 mètre et d’un diamètre de 25 millimètres enfoncées à au moins 30 centimètres dans le sol. Le nom complet de la station doit figurer sur le médaillon.
  • Une paire de mires étalonnées en invar doit être utilisée pour tous les nivellements. Toutes les paires de mires en invar doivent être accompagnées de documents à l’appui indiquant qu’elles ont été étalonnées au cours des deux dernières années. L’étalonnage en usine de nouvelles mires en invar est acceptable.
  • Le test des deux piquets doit être effectué au début du projet, puis quotidiennement, ou plus fréquemment si l’opérateur estime que l’instrument a été compromis. L’erreur de collimation doit être inférieure à 0,05 millimètre par mètre.
  • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc, les réseaux de nivellement doivent être constitués d’au moins quatre boucles de 25 kilomètre (ou moins) de longueur.
    • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc, une troisième vérification valide de la stabilité est requise à proximité du milieu du réseau ou, à défaut, sur le périmètre de celui-ci.

Spécifications relatives à la fermeture de deuxième ordre

  • L’écart de fermeture maximal de la section et du cheminement entre les cheminements indépendants aller et retour doit être inférieur ou égal à 8 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤8 mm * √km
  • L’écart de fermeture maximal de la boucle de nivellement entre la somme des cheminements aller et retour doit être inférieur ou égal à 8 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤8 mm * √km
  • Lorsque le nombre de kilomètres correspond à la distance le long du parcours de cheminement en kilomètres.

Spécifications relatives au deuxième ordre B

  • Les bornes doivent être des bornes courtes fixées dans des structures rocheuses ou en béton stables ou des médaillons fixés à des barres de fer rondes d’une longueur de 1,8 mètre et d’un diamètre de 25 millimètres enfoncées à au moins 30 centimètres dans le sol. Le nom complet de la station doit figurer sur le médaillon.
  • Une paire de mires en invar, d’une seule pièce ou à sections en fibre de verre, peut être utilisée. Si la longueur des mires de nivellement est supérieure à 3 mètres, seule la partie inférieure de 3 mètres des mires doit être utilisée pour les observations.
  • Le test des deux piquets doit être effectué au début du projet, puis quotidiennement, ou plus fréquemment si l’opérateur estime que l’instrument a été compromis. L’erreur de collimation ne doit pas être supérieure à 0,10 millimètre par mètre.
  • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc : Les réseaux de nivellement doivent être constitués d’au moins deux boucles de 25 kilomètres (ou moins) de longueur.
  • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc : Une troisième vérification valide de la stabilité est recommandée à proximité du milieu du réseau ou, à défaut, sur le périmètre de celui-ci.

Spécifications relatives à la fermeture de deuxième ordre B

  • L’écart de fermeture maximal de la section et du cheminement entre les cheminements indépendants aller et retour doit être inférieur ou égal à 16 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤16 mm * √km
  • L’écart de fermeture maximal de la boucle de nivellement entre la somme des cheminements aller et retour doit être inférieur ou égal à 16 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤16 mm * √km
  • Lorsque le nombre de kilomètres correspond à la distance le long du parcours de cheminement en kilomètres.

Spécifications relatives au troisième ordre

  • Les bornes doivent être des bornes courtes fixées dans des structures rocheuses ou en béton stables ou des médaillons fixés à des barres de fer rondes d’une longueur de 1,8 mètre et d’un diamètre de 25 millimètres enfoncées à au moins 30 centimètres dans le sol. Le nom complet de la station doit figurer sur le médaillon.
  • On peut utiliser des mires en invar, monopièces, modulaires ou télescopiques en fibre de verre ou en aluminium. Si la longueur des mires de nivellement est supérieure à 3 mètres, seule la partie inférieure de 3 mètres des mires doit être utilisée pour les observations.
  • Le test des deux piquets doit être effectué au début du projet, puis quotidiennement, ou plus fréquemment si l’opérateur estime que l’instrument a été compromis. L’erreur de collimation ne doit pas être supérieure à 0,10 millimètre par mètre.
  • Si un cheminement a des repères primaires comme points de départ et d’arrivée et que la longueur du cheminement est inférieure à 25 kilomètres, un nivellement simple est autorisé.
  • Pour les réseaux municipaux ou de type bloc, les réseaux de nivellement doivent être constitués d’au moins deux boucles de 25 kilomètres (ou moins) de longueur.

Spécifications relatives à la fermeture de cheminement de troisième ordre

  • L’écart de fermeture maximal de la section et du cheminement entre les cheminements indépendants aller et retour doit être inférieur ou égal à 24 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤24 mm * √km
  • L’écart de fermeture maximal de la boucle de nivellement entre la somme des cheminements aller et retour doit être inférieur ou égal à 24 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤24 mm * √km
  • En ce qui concerne le nivellement simple : L’écart de fermeture maximal entre la différence de la hauteur nivelée et la différence de la hauteur publiée des repères primaires doit être inférieur ou égal à 24 millimètres multipliés par la racine carrée de la distance nivelée en kilomètres. ≤24 mm * √km
  • Lorsque le nombre de kilomètres correspond à la distance le long du parcours de cheminement en kilomètres.

Classification des nouveaux repères

Il faut déployer tous les efforts nécessaires pour respecter le degré de précision indiqué dans l’ensemble du canevas altimétrique dans le cadre de la compensation avec contrainte. Toutefois, s’il n’est pas possible d’obtenir ce niveau de précision pour chaque station en raison de distorsions dans le réseau existant, l’organisme émetteur pourrait estimer qu’une moins grande précision est acceptable.

Livrables finaux

Toutes les données de nivellement doivent être corrigées à l’aide du logiciel de compensation par les moindres carrés approuvé par le ministère. Tant les compensations par les moindres carrés sans contrainte et avec contrainte doivent être soumises. Les statistiques de fermeture doivent être affichées pour tous les cheminements sur le terrain et toutes les boucles de nivellement afin de s’assurer de respecter les écarts de fermeture pour le degré de nivellement requis. Les statistiques de fermeture comparant les observations sur le terrain aux différences de hauteur publiées entre les repères primaires ainsi qu’entre les repères publiés nivelés doivent également être affichées.

Tous les repères nouveaux et existants (publiés) utilisés dans le relevé doivent porter le nom complet (service COSINE) utilisé dans les compensations par les moindres carrés. Tous les fichiers électroniques bruts doivent être soumis.

Autres exigences

  • Données numériques de tous les tests des deux piquets (fichiers numériques bruts) et des compensations subséquentes.
  • Rapport détaillant le matériel et la méthodologie utilisés et explications des problèmes rencontrés et de leur correction.
  • Croquis de référence de localisation net en format numérique haute résolution pour chaque nouveau repère. Consulter l’annexe B - Croquis de positionnement de la borne - pour connaître les exigences relatives aux croquis.
  • Copie numérique d’un fichier texte dans Microsoft Word ou d’une feuille de calcul présentant un tableau de tous les nouveaux repères et la description de leur emplacement.
  • Copie numérique d’un fichier texte indiquant les coordonnées NAD83 approximatives (latitude, longitude et altitude ellipsoïdale) de tous les nouveaux repères.
  • Copie numérique du diagramme du réseau (à l’échelle si possible) présentant les observations réelles et les cheminements suivis entre tous les repères nouveaux et existants du réseau.
  • Copie numérique des données brutes de nivellement ainsi que des repères identifiés à l’aide de la numérotation appropriée du service COSINE.
  • Copie numérique de toutes les notes de terrain.

Références

  • Ressources Naturelles Canada. Spécifications pour levés de contrôle et conseils concernant la construction de repères, Ottawa, le ministère, 1978.
  • Ministères Des Transports Et Des Richesses Naturelles De L’ontario. Spécifications de l’Ontario pour les levés de contrôle GPS, Imprimeur de la Reine pour l’Ontario, juin 2004.
  • Ministère Des Richesses Naturelles Et Des Forêts De L’ontario. Provisional MNRF Specifications for Digital Levelling, Imprimeur de la Reine pour l’Ontario, mai 2017.
  • Ministère Des Transports De L’ontario. Vertical Control Survey Specifications, Imprimeur de la Reine pour l’Ontario, novembre 2018.

Annexe A : Abornement

Médaillon de contrôle géodésique en bronze vissable d’un autre organisme — Dimensions et spécifications des matériaux — Type B

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

L’image est en anglais seulement.

L’image présente trois vues du médaillon en bronze.

  • La première image est une coupe verticale du médaillon qui montre la coupe transversale A-A de gauche à droite et la coupe transversale B-B de haut en bas. Sur le dessus du médaillon figurent le mot « Ontario » inscrit de façon incurvée le long du bord supérieur et les mots « issuing agency » (organisme émetteur) inscrits de façon incurvée le long du bord inférieur. Figurent également au centre du médaillon les mots « control survey » accompagnés d’une croix en dessous.
  • L’image de la coupe transversale A-A indique que la partie supérieure du médaillon a un diamètre de 76 millimètres, une largeur de 3 millimètres et un épaulement angulaire d’une hauteur de 6 millimètres. Sur l’image, le médaillon est fixé à une tige en acier d’un diamètre de 25,4 millimètres, qui comporte un écrou soudé à la barre pour permettre d’enfoncer le support de tête sous le médaillon. Le trou fileté a une hauteur de 50 millimètres et un filetage de 45 millimètres, de sorte que les 5 millimètres supérieurs sont exempts de filetage. Le médaillon présente un filetage standard lui permettant de recevoir une tige filetée standard de 25,4 millimètres comptant 8 filets au pouce, un diamètre intérieur de 0,8376 pouce et une surface de 0,5510 pouce carré à sa partie la plus mince. Trou fileté pour vis Allen de 5 millimètres et vis Allen de 5 millimètres illustrée à 20 millimètres au-dessus de la base du médaillon.
  • L’image de la coupe transversale B-B montre que la base du médaillon a un diamètre de 41 millimètres. Sous l’épaulement du médaillon se trouve une courbe d’un rayon de 16 millimètres, et la partie supérieure est incurvée à un rayon de 89 millimètres. Trou fileté pour vis Allen de 5 millimètres illustré à 20 millimètres de la base du médaillon.

Remarques relatives aux gravures :

  • le style de lettre est « standard gothic »
  • les tailles des lettres sont les suivantes :
    • 5 millimètres pour la ligne médiane de segment
    • 6 millimètres d’un bord à l’autre pour l’inscription extérieure
    • réticule de 3 millimètres d’une ligne médiane à l’autre
    • 3 millimètres d’un bord à l’autre pour l’inscription intérieure
  • la profondeur des lettres est de 1 millimètre
  • chaque côté des lettres présente un biseau de 20 degrés
  • la taille des chiffres est de 5 millimètres
  • la profondeur des chiffres est de 1 millimètre

Remarques concernant les matériaux :

  • utiliser du laiton ou du bronze ayant une teneur en cuivre d’au moins 83 %
  • la face du médaillon est polie

Médaillon de contrôle géodésique en bronze vissable de l’Ontario — Dimensions et spécifications des matériaux — Numéro B2

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

L’image est en anglais seulement.

L’image présente trois vues du médaillon en bronze.

  • La première image est une coupe verticale du médaillon qui montre la coupe transversale A-A de gauche à droite et la coupe transversale B-B de haut en bas. Sur le dessus du médaillon figurent les mots « control survey » inscrits de façon incurvée le long du bord supérieur et « Ontario » inscrit de façon incurvée le long du bord inférieur. Une croix d’une largeur de huit millimètres est illustrée au centre du médaillon.
  • L’image de la coupe transversale A-A indique que la partie supérieure du médaillon a un diamètre de 55 millimètres avec un épaulement angulaire d’une largeur de 2 millimètres et d’une hauteur de 5 millimètres. Sur l’image, le médaillon est fixé à une tige en acier d’un diamètre de 25,4 millimètres, qui comporte un écrou soudé à la barre pour permettre d’enfoncer le support de tête sous le médaillon. Le trou fileté a une hauteur de 50 millimètres et un filetage de 45 millimètres, de sorte que les 5 millimètres supérieurs sont exempts de filetage. La surface plane illustrée sur le côté a une largeur de 15 millimètres et une hauteur de 35 millimètres et est identique de l’autre côté. Le médaillon présente un filetage standard lui permettant de recevoir une tige filetée standard de 25,4 millimètres comptant 8 filets au pouce, un diamètre intérieur de 0,8376 pouce et une surface de 0,5510 pouce carré à sa partie la plus mince. Trou fileté pour vis Allen de 5 millimètres et vis Allen de 5 millimètres illustrée à 20 millimètres au-dessus de la base du médaillon. La base du médaillon a un diamètre de 41 millimètres et le dessous de l’épaulement a un rayon de 30 millimètres.
  • L’image de la coupe transversale B-B indique que la partie supérieure courbée a un rayon de 90 millimètres. Trou fileté pour vis Allen de 5 millimètres illustré à 20 millimètres de la base du médaillon.

Remarques relatives aux gravures :

  • le style de lettre est « standard gothic » disposée de la façon indiquée
  • la taille des lettres est de 5 millimètres et leur profondeur minimale, de 1 millimètre

Remarques concernant les matériaux :

  • laiton ou bronze ayant une teneur en cuivre d’au moins 83 %

Médaillon de contrôle vertical en bronze avec fente de l’Ontario pour structures rocheuses ou en béton — Dimensions et spécifications des matériaux

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L’image est en anglais seulement.

L’image présente trois vues du médaillon en bronze.

  • La première image est une coupe verticale du médaillon qui montre la coupe transversale A-A de gauche à droite. Sur le dessus du médaillon figurent « Ontario » inscrit de façon incurvée le long du bord supérieur et « Issuing Agency » (organisme émetteur) inscrits de façon incurvée le long du bord inférieur. Au centre du médaillon figurent les mots « control survey », sous lesquels se trouve une fente horizontale d’une largeur de 2 millimètres. Le diamètre du médaillon est de 70 millimètres.
  • La coupe transversale A-A illustre la partie supérieure du médaillon, qui a un rayon de 185 millimètres sur sa face et une épaisseur de 6 millimètres sur le bord. La fente d’une largeur de 2 millimètres a une longueur de 35 millimètres. La base s’amincit en biseau depuis une largeur extérieure de 20 millimètres et une largeur intérieure de 16 millimètres à une largeur extérieure de 16 millimètres et une largeur intérieure de 12 millimètres. Le point inférieur présente un rayon de dix millimètres. Quatre trous chanfreinés par face d’un diamètre de 10 millimètres et d’une profondeur de 5 millimètres à des intervalles d’environ 15 millimètres.
  • La coupe B-B est illustrée de gauche à droite en contre-plongée au centre. La coupe B-B présente une base en forme de X d’un rayon de 10 millimètres à l’intérieur et d’un rayon de 2 millimètres aux points extérieurs. Un espace de 10 millimètres sépare les faces.

Remarques relatives aux gravures :

  • le style de lettre est « standard gothic »
  • les tailles des lettres sont les suivantes :
    • 5 millimètres pour la ligne médiane de segment
    • 6 millimètres d’un bord à l’autre pour l’inscription extérieure et la marque centrale
    • 3 millimètres d’une ligne médiane à l’autre
    • 3 millimètres d’un bord à l’autre pour l’inscription intérieure
  • la profondeur des lettres est de 1 millimètre
  • chaque côté des lettres présente un biseau de 20 degrés
  • la taille des chiffres est de 5 millimètres
  • la profondeur des chiffres est de 1 millimètre

Remarques concernant les matériaux :

  • laiton ou bronze ayant une teneur en cuivre d’au moins 83 %
  • la face du médaillon est polie

Annexe B : Exemple de croquis de l’emplacement des bornes de contrôle géodésiques

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L’image est en anglais seulement.

L’image montre un exemple de croquis de l’emplacement de borne.

Texte de l’image :

  • date : 15 octobre 2001
  • numéro de dossier : 2001−109
  • type de borne : médaillon fixé dans une surface de roc
  • relation par rapport au sol : à ras de terre
  • état : neuf
  • intervisible avec : 00820010532
  • emplacement : point situé à 15,1 kilomètres au sud d’un point de vue panoramique, à 2,4 kilomètres au nord de Mamainse Harbour Road, du côté est de la route 17.
  • repérer : Oui
  • croquis d’emplacement : l’exemple montre la route 17 et la ligne centrale avec une mesure de 14,6 mètres de la ligne centrale à la station. Montre une ligne électrique suspendue et un talus rocheux. Montre un marqueur en acier à 0,13 mètre au sud de la station, un clou dans un peuplier de 80 centimètres de diamètre à 18,45 mètres au sud-est de la station et un clou dans un poteau de ligne de transmission à 14,71 mètres au nord-est de la station. La flèche d’orientation dirigée vers le nord est illustrée dans le coin supérieur droit.
  • exemple de numéro de borne, en l’occurrence 00820010533

Annexe C : Exemple de conception de réseau linéaire vertical

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

L’image est en anglais seulement.

L’image montre un exemple de réseau linéaire en forme de T. Il y a 2 repères à chaque extrémité du réseau, à l’est, à l’ouest et au sud. Un repère existant supplémentaire est indiqué en cours de route sur la ligne est-ouest et est étiqueté à 10 kilomètres ou plus le long du parcours de cheminement. Des flèches incurvées sont montrées entre les stations pour indiquer la direction de nivellement vers l’avant et vers l’arrière. Un certain nombre de nouvelles stations sont affichées entre les stations existantes. À l’intersection de la ligne est-ouest et de la ligne nord-sud, la station porte la mention « Le point de jonction doit être aborné ». À l’extrémité sud, une nouvelle station est située entre 2 repères existants et porte la mention « De nouveaux repères pourraient être créés entre les repères primaires existants ». La légende suivante présente les symboles utilisés pour le repère géodésique publié existant RP indique le repère primaire), le nouveau repère géodésique et la direction du cheminement. Une note indique que, lorsqu’il n’existe pas de repère publié sur une distance d’au moins 10 kilomètres le long du cheminement, au moins un repère de niveau égal ou supérieur dans un rayon de 3 kilomètres du cheminement, le cas échéant, doit être rattaché.

Annexe D

Partie I : Exemple de conception de réseau vertical municipal ou de type bloc

Deuxième ordre ou deuxième ordre B (zone du réseau : 25 kilomètres carrés et plus).

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

L’image est en anglais seulement.

L’image montre un exemple de réseau de type bloc composé de 4 blocs carrés superposés 2 par 2. Il y a 2 repères existants situés à chacun des coins extérieurs et étiquetés RP. Les 2 situés dans le coin supérieur gauche portent la mention « vérification de stabilité au début du réseau ». Les 2 situés dans le coin supérieur droit portent la mention « vérification de stabilité facultative  1 ». Les 2 situés dans le coin inférieur gauche portent la mention « vérification de stabilité facultative  2 ». Les 2 situés dans le coin inférieur droit portent la mention « vérification de stabilité à la fin du réseau ». Les 2 repères existants situés à l’intersection centrale portent la mention « vérification de stabilité au centre du réseau ». Une combinaison de repères nouveaux et existants est présentée entre les repères mentionnés ci-dessus. Des flèches incurvées sont présentées entre les repères pour montrer la direction du nivellement dans les deux directions. Sous l’exemple de réseau se trouve une légende qui décrit les symboles utilisés pour le repère géodésique publié existant (RP correspond au repère primaire), le nouveau repère géodésique et la direction du cheminement.

Remarques :

  • la vérification facultative de la stabilité permet une meilleure intégration entre les réseaux nouveaux et existants
  • pour le nivellement de 2e ordre et de 2e ordre B, chaque cheminement doit faire partie d’une boucle de nivellement (nivellement dans les deux sens)

Les vérifications de la stabilité consistent en deux repères existants pour lesquels les exigences de fermeture sont respectées. Consulter l’annexe E et la Vérifications de la stabilité des repères.

Partie II : Exemple de conception de réseau vertical municipal ou de type bloc

Deuxième ordre ou deuxième ordre B (zone du réseau : moins de 25 kilomètres carrés).

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

L’image est en anglais seulement.

L’image montre un exemple de réseau de type bloc composé de 2 blocs carrés superposés. Deux repères existants situés dans chacun des coins en haut à gauche, en haut à droite et en bas à droite portent la mention RP. Les 2 situés dans le coin supérieur gauche portent la mention « vérification de stabilité au début du réseau ». Les 2 situés dans le coin supérieur droit portent la mention « vérification de stabilité facultative ». Les 2 situés dans le coin inférieur droit portent la mention « vérification de stabilité à la fin du réseau ». Une combinaison de repères nouveaux et existants est présentée entre les repères mentionnés ci-dessus. Des flèches incurvées sont présentées entre les repères pour montrer la direction du nivellement dans les deux directions. Sous l’exemple de réseau se trouve une légende qui décrit les symboles utilisés pour le repère géodésique publié existant (RP correspond au repère primaire), le nouveau repère géodésique et la direction du cheminement.

Remarques :

  • la vérification facultative de la stabilité permet une meilleure intégration entre les réseaux nouveaux et existants
  • pour le nivellement de 2e ordre et de 2e ordre B, chaque cheminement doit faire partie d’une boucle de nivellement (nivellement dans les deux sens)

Les vérifications de la stabilité consistent en deux repères existants pour lesquels les exigences de fermeture sont respectées. Consulter l’annexe E et la vérifications de la stabilité des repères.

Annexe E : Diagramme et tableau présentant des exemples de calculs de l’écart de fermeture permis et de vérification de la stabilité d’un exemple de réseau vertical

La source média référencée est manquante et doit être réintégrée.

L’image est en anglais seulement.

L’image montre un exemple de diagramme pour le calcul des écarts de fermeture permis et de vérification de la stabilité. Il y a un exemple de cheminement montrant un repère « A » et un repère « B », ainsi que des flèches incurvées indiquant les deux directions, représentant les mesures de nivellement entre eux. Le cheminement aller présente une mesure de +4,8971 mètres de hauteur sur une distance de 1,60 kilomètre. Le cheminement retour présente une mesure de −4,8870 mètres de hauteur sur une distance de 1,70 kilomètre. Des remarques sur les mesures figurent en dessous. La distance moyenne aller et retour est égale à (1,60 kilomètre plus 1,70 kilomètre) divisée par 2, soit 1,65 kilomètre. La différence de hauteur observée entre le repère « A » et le repère « B » est égale à +4,8971 mètres. La différence de hauteur observée entre le repère « B » et le repère « A » est égale à −4,8870 mètres. Écart de fermeture entre les cheminements aller et retour = 4,8971 mètres moins 4,8870, soit 0,0101 mètre ou 10,1 millimètres. La différence moyenne de la hauteur observée du repère « A » au repère « B » = (4,8971 mètres plus une valeur absolue de −4,8870 mètres) divisé par 2, soit 4,8920 mètres. La hauteur du repère « A » publiée est de 100,101 mètres. La hauteur du repère « B » publiée est de 104,989 mètres. La différence de hauteur publiée entre le repère « A » et le repère « B » est égale à 4,888 mètres.

Calculs des écarts de fermeture permis et de la vérification de la stabilité

Calcul effectué/commentaires Formule du premier ordre Formule du deuxième ordre Formule du deuxième ordre B Formule du troisième ordre
Écart de fermeture permis 1er ordre (inférieur ou égal à 4 millimètres multiplié par la racine carrée de la distance en kilomètres) 2e ordre (inférieur ou égal à 8 millimètres multiplié par la racine carrée de la distance en kilomètres) 2e ordre B (inférieur ou égal à 16 millimètres multiplié par la racine carrée de la distance en kilomètres) 3e ordre (inférieur ou égal à 24 millimètres multiplié par la racine carrée de la distance en kilomètres)
Écart de fermeture permis 4 millimètres multipliés par la racine carrée de 1,65 équivaut à 5,1 millimètres 8 millimètres multipliés par la racine carrée de 1,65 équivaut à 10,3 millimètres 16 millimètres multipliés par la racine carrée de 1,65 équivaut à 20,6 millimètres 24 millimètres multipliés par la racine carrée de 1,65 équivaut à 30,8 millimètres
Écart de fermeture entre les observations aller et retour 10,1 millimètres 10,1 millimètres 10,1 millimètres 10,1 millimètres
Vérification par comparaison de l’écart de fermeture Non conforme au 1er ordre Conforme au 2e ordre Conforme au 2e ordre Conforme au 3e ordre
Différence moyenne de la hauteur observée moins différence de la hauteur publiée 4,8920 mètres moins 4,8880 mètres équivaut à 0,0040 mètre ou 4,0 millimètres 4,8920 mètres moins 4,8880 mètres équivaut à 0,0040 mètre ou 4,0 millimètres 4,8920 mètres moins 4,8880 mètres équivaut à 0,0040 mètre ou 4,0 millimètres 4,8920 mètres moins 4,8880 mètres équivaut à 0,0040 mètre ou 4,0 millimètres
Vérification de la stabilité Conforme à la vérification de la stabilité de 1er ordre Conforme à la vérification de la stabilité de 2e ordre Conforme à la vérification de la stabilité de 2e ordre B Conforme à la vérification de la stabilité de 3e ordre
Commentaires Non conforme à la vérification globale de la stabilité de 1er ordre — non conforme à la comparaison de l’écart de fermeture de 1er ordre Conforme à la vérification globale de la stabilité de 2e ordre — les repères sont considérés comme stables au 2e ordre Conforme à la vérification globale de la stabilité de 2e ordre B — les repères sont considérés comme stables au 2e ordre B Conforme à la vérification globale de la stabilité de 3e ordre — les repères sont considérés comme stables au 3e ordre

Liens connexes

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