Le SGI emploie des termes normalisés pour décrire les installations à partir desquelles les fonctions du système sont exécutées. Il peut s’agir de structures permanentes préalablement désignées ou de structures temporaires mises en place dans le seul but de gérer un incident. Le commandant des opérations sur le lieu de l’incident met en place ces installations uniquement s’il en a besoin (en fonction des besoins et de la complexité de l’incident). Dans le SGI, il est important de pouvoir reconnaître les principales installations relatives à l’incident sur le terrain ainsi que sur une carte. Le SGI a recours à des symboles normalisés présentés dans le tableau 10 (Installations du SGI).

Tableau 10 : Installations du SGI

Installation Symbole Description du symbole Description de l’installation Utilisateurs Lieu Nombre par incident
Poste de commande-ment des opérations sur le lieu de l’incident (PCI) Symbole représentant un poste de commandement du lieu de l’incident. Il s’agit d’un carré au contour noir avec une diagonale allant du coin inférieur gauche au coin supérieur droit formant deux triangles, un blanc en haut et un noir en bas. Carré au contour noir avec une diagonale allant du coin inférieur gauche au coin supérieur droit formant deux triangles, un blanc en haut et un noir en bas. Lieu physique où se déroulent les principales fonctions de comman-dement. Commandant des opérations sur le lieu de l’incident, commandement unifié, comman-dement et état-major général, autres intervenants selon les besoins. À l’extérieur de la zone dangereuse réelle ou potentielle, mais assez près du lieu de l’incident pour assurer le comman-dement. Un seul
Centre de télé¬commu-nications sur le lieu de l’incident (CTI) Symbole représentant un centre de télécommunications sur le lieu de l’incident. Il s’agit d’un carré blanc au contour noir avec les lettres ITC à l’intérieur. Carré blanc au contour noir avec les lettres ITC à l’intérieur. Lieu où sont préparées et gérées les télécommunications concernant un incident. Chef du CTI et Unité des télécommunications Assez près du lieu de l’incident pour intervenir rapidement, mais assez loin pour être hors de danger. Un seul
Poste de commande-ment de zone Symbole représentant un poste de commandement de zone. Il s’agit d’un carré au contour noir divisé en deux triangles blancs par une diagonale allant du coin inférieur gauche au coin supérieur droit, avec le mot « Area » en lettres noires dans le triangle du haut. Carré au contour noir divisé en deux triangles blancs par une diagonale allant du coin inférieur gauche au coin supérieur droit. Emplacement à partir duquel le commandement de zone dirige les diverses équipes de gestion d’incidents. Semblable à un PCI. Commandement des opérations en cas d’incident, comman-dement de zone et état-major général. À l’extérieur de la zone dangereuse réelle ou potentielle, mais assez près du lieu de l’incident pour en assurer le comman-dement. Plusieurs
Zone de ras-semblement Symbole représentant une zone de rassemblement. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « S » écrite en noir à l’intérieur.
ou
Symbole utilisé lorsqu’il y a plus d’une zone de rassemblement. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « S » écrite en noir à l’intérieur. Il est possible de désigner plus d’une zone de rassemblement en ajoutant un chiffre (ex. : « S1 »).
ou
Symbole utilisé lorsqu’il y a plus d’une zone de rassemblement. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « S » écrite en noir à l’intérieur. Il est possible de désigner plus d’une zone de rassemblement en ajoutant un chiffre (ex. : « S2 »).
Cercle blanc au contour noir avec la lettre « S » écrite en noir à l’intérieur. Il est possible de désigner plus d’une zone de rassemblement en ajoutant un chiffre (ex. : « S1 »). Emplacement temporaire où les ressources disponibles sont enregistrées en attendant leur déploiement ou une assignation tactique. Ressources disponibles Assez près du lieu de l’incident pour intervenir rapidement (généralement moins de cinq minutes de déplacement), mais assez loin pour être hors de danger. Plusieurs
Base Symbole représentant une base. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « B » écrite en noir à l’intérieur. Cercle blanc au contour noir avec la lettre « B » écrite en noir à l’intérieur. Emplacement destiné à la coordination des fonctions de logistique et d’administration et où se trouvent les res-sources hors service. Section de la logistique, Section des finances et de l’administration, chef de la base et ressources hors service. Assez près du lieu de l’incident pour inter-venir rapidement, mais assez loin pour être hors de danger. Un seul
Camp Symbole représentant un camp. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « C » écrite en noir à l’intérieur.
ou
Symbole utilisé lorsqu’il y a plus d’un camp. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « C » écrite en noir à l’intérieur. Il est possible de désigner plus d’un camp en ajoutant un chiffre (ex. : « C1 »).
ou
Symbole utilisé lorsqu’il y a plus d’un camp. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « C » écrite en noir à l’intérieur. Il est possible de désigner plus d’un camp en ajoutant un chiffre (ex. : « C2 »).
Cercle blanc au contour noir avec la lettre « C » écrite en noir à l’intérieur. Il est possible de désigner plus d’un camp en ajoutant un chiffre (ex. : « C1 ». Emplacement offrant des services de soutien (nourriture, eau, hébergement et installations sanitaires). Chef de camp et ressources hors service. À l’intérieur de la zone d’incident, dans des endroits stratégiques. Plusieurs
Base aérienne Symbole représentant une base aérienne. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « A » écrite en noir à l’intérieur. Cercle blanc au contour noir avec la lettre « A » écrite en noir à l’intérieur. Emplacement à partir duquel les avions et les hélicoptères sont utilisés. Personnel responsable de la navi-gation aérienne. Endroits prédéterminés. Plusieurs
Héliport Symbole représentant un héliport. Il s’agit d’un cercle blanc au contour noir avec la lettre « H » écrite en noir à l’intérieur. Cercle blanc au contour noir avec la lettre « H » écrite en noir à l’intérieur. Emplacement désigné où les hélicoptères sont posés, entretenus et avitaillés. Chef de l’héliport et personnel responsable de la navigation aérienne. À l’intérieur de la zone d’incident, dans des endroits stratégiques Plusieurs
Héliport temporaire Symbole représentant un héliport temporaire. Il s’agit d’un cercle entièrement noir, avec en dessous la lettre « H » majuscule suivie d’un tiret et d’un chiffre (ex. : H-1 et H-2). Un cercle entièrement noir, avec en dessous la lettre « H » ma-juscule suivie d’un tiret et d’un chiffre (ex.: H-1 et H-2). Emplacement temporaire où les hélicoptères peuvent atterrir, décharger du matériel et être avitaillés. Chef de l’héliport et personnel responsable de la navigation aérienne. À l’intérieur de la zone d’incident, dans des endroits stratégiques. Plusieurs
Base maritime Symbole représentant une base maritime. Il s’agit d’un carré blanc au contour noir avec la lettre « M » écrite en noir à l’intérieur. Carré blanc au contour noir avec la lettre « M » écrite en noir à l’intérieur. Emplacement où les activités maritimes sont organisées. Chef de la base maritime et personnel responsable des opérations maritimes. Elle peut être permanente et déjà en place, ou installée temporaire-ment dans la zone d’incident. Plusieurs
Centre des opérations d’urgence (COU) Symbole représentant un centre des opérations d’urgence. Il s’agit d’un carré blanc au contour noir avec « EOC » écrit en noir à l’intérieur. Carré blanc au contour noir avec « EOC » écrit en noir à l’intérieur. Emplacement où sont coordonnées les ressources et l’information dans le but d’apporter du soutien sur le lieu de l’incident. Directeur du COU Généralement dans un endroit prédéter-miné à l’extérieur de la zone d’incident. Un seul
Centre d’in-formation sur les situations d’urgence (CISU) ou CCISU Symbole représentant un centre d’information sur les situations d’urgence. Il s’agit d’un carré blanc au contour noir avec un point d’interrogation à l’intérieur.
ou
Symbole représentant un centre commun d’information sur les situations d’urgence. Il s’agit d’un carré blanc au contour noir avec un point d’interrogation à l’intérieur. La lettre « J » (pour « Joint ») peut y figurer pour symboliser les CCISU, qui comptent des représentants de plusieurs organisations.
Carré blanc au contour noir avec un point d’interrogation à l’intérieur. La lettre « J » (pour « Joint ») pourrait y figurer pour symboliser les CCISU, qui comptent des représentants de plusieurs organisations. Endroit servant à coordonner les activités d’information sur les situations d’urgence : préparation de communiqués de presse, réception des demandes du public, séances d’information à l’intention des médias, surveillance des médias, etc. Personnel des communications et autres employés. Endroit si¬tué généralement à l’extérieur de la zone d’incident et accessible au public. Un seul
Centre d’aide aux familles et aux amis Symbole représentant un centre d’aide aux familles et aux amis. Il s’agit d’un carré blanc au contour noir avec « FFAC » écrit en noir à l’intérieur. Carré blanc au contour noir avec « FFAC » écrit en noir à l’intérieur. Emplacement sécuritaire dans un endroit central pour que les proches des victimes potentielles puissent obtenir de l’information et différents services de soutien. Personnel des services de soutien. Relativement près du lieu de l’incident, mais assez loin pour que les amis et la famille n’aient pas à passer par là. Un seul

Aspects communs à toutes les installations du SGI

Lors de la mise en place des installations du SGI, il faut tenir compte des aspects suivants :

  • Mobilité – L’installation devrait être mobile ou pouvoir être évacuée au besoin. Il pourrait donc être bon de disposer d’installations mobiles.
  • Accessibilité – L’installation doit être accessible d’au moins une façon. Cet accès est nécessaire à des fins d’activation, de désactivation, de réapprovisionnement, de renforcement, de mobilisation, de démobilisation, de déploiement, d’évacuation ou autres.
  • Sécurité – L’installation ne doit pas avoir été touchée par l’incident et être hors de danger. Il faut s’assurer de la sécurité des intervenants en tout temps.
  • Espace suffisant – L’installation doit disposer d’assez d’espace pour les fins prévues : aires de travail, de repos ou de restauration, installations sanitaires.
  • Soutien – L’installation doit disposer des ressources adéquates (humaines et matérielles) pour être fonctionnelle.
  • Exigences technologiques – Certaines installations pourraient nécessiter certaines technologies pour être fonctionnelles (ex.: électricité, télécommunication, systèmes informatiques).
  • Regroupement des services – Beaucoup d’installations du SGI pourraient être regroupées, c’est-à-dire partager le même terrain, la même structure ou le même étage d’un bâtiment ou d’un bureau. Voici quelques points auxquels penser :
    • Il faut déterminer si le regroupement des services convient en fonction des caractéristiques de l’incident.
    • Le regroupement des services permet de maximiser des ressources comme le transport, les aménagements et les systèmes de télécommunication.
    • Il permet de réduire le temps de transport des ressources et facilite la liaison.
    • On recommande d’utiliser les grands espaces intérieurs comme les entrepôts ou les arénas pour plusieurs fonctions en créant des espaces de travail appropriés pour chacune.
    • Il faut éviter de regrouper des services incompatibles, car il pourrait y avoir interférence.
    • Il faut éviter d’allonger inutilement les distances et les temps de déplacement. Par exemple, si la zone de rassemblement se trouve dans un camp, les ressources disponibles pourraient alors se trouver trop loin du lieu de l’incident.

Précisions sur les installations du SGI

Poste de commandement du lieu de l’incident

Le poste de commandement du lieu de l’incident (PCI) est le lieu physique où sont réalisées les principales fonctions de commandement. Il n’y en a qu’un seul par incident (même pour les incidents relevant de plusieurs territoires ou organisations). C’est généralement à cet endroit que se trouvent le commandant des opérations sur le lieu de l’incident (ou commandement unifié), le commandement et l’état-major général. On peut parfois y trouver d’autres intervenants.

Le PCI peut changer d’emplacement pendant un incident. Au départ, ce peut être un camion de pompier, une voiture de police ou une tente. Si l’incident prend de l’ampleur ou si sa complexité et les risques augmentent, le commandant des opérations désigne un endroit plus approprié ou établit un PCI permanent, comme dans une remorque ou un bâtiment. Généralement, le PCI se trouve à l’extérieur de la zone dangereuse réelle ou potentielle, mais assez près du lieu de l’incident pour en assurer le commandement.

Centre de télécommunication sur le lieu de l’incident

Le Commandement des opérations en cas d’incident gère les télécommunications depuis le Centre de télécommunication sur le lieu de l’incident (CTI), créé pour être utilisé par les ressources de commandement et de soutien ainsi que les ressources tactiques affectées à l’incident. Le CTI est géré par un chef, qui rend des comptes au chef de l’unité des télécommunications de la direction des services de logistique.

Poste de commandement de zone

Il s’agit de l’emplacement à partir duquel le commandement de zone gère les multiples équipes de gestion des incidents. Il présente des caractéristiques similaires à celles d’un PCI.

Zone de rassemblement

Une zone de rassemblement est un emplacement temporaire où sont enregistrées et réunies les ressources en attente d’une affectation tactique. À mesure qu’un incident prend de l’ampleur, on peut avoir besoin d’autres ressources. Afin de gérer ces dernières efficacement, de bien en assurer le suivi et d’éviter d’en déployer trop en même temps, on met en place au moins une zone de rassemblement. Seules les ressources « disponibles » s’y trouvent. Ce type de zone étant mis en place pour répondre à des besoins opérationnels précis (ex.: ambulanciers paramédicaux, pompiers, police, équipement de travaux publics, etc.), il est possible qu’il y en ait plus d’une pour un même incident. Chaque zone de rassemblement devrait avoir son chef, qui relève du chef de la Section des opérations, ou du commandant des opérations sur le lieu de l’incident si une Section des opérations n’a pas été établie.

Une zone de rassemblement devrait se trouver assez près du lieu de l’incident pour assurer une intervention rapide (normalement, on vise cinq minutes maximum de temps de déplacement), mais suffisamment éloignée pour ne pas être dans une zone dangereuse. Elle doit comprendre des voies d’accès fiables, et être assez grande pour accueillir toutes les ressources disponibles.

Base

La base est l’endroit où sont coordonnées et administrées les fonctions logistiques et administratives principales, et où se trouvent les ressources hors service. Lorsqu’on s’attend à ce qu’un incident dure un certain temps, il faut parfois procéder à une rotation des ressources. Les ressources hors service se trouvent à la base, qui est gérée par un chef faisant partie de l’unité des installations, ou de la Section de la logistique si elle a été mise en place.

Il ne devrait y avoir qu’une seule base par incident, mais elle devrait être en mesure d’appuyer les activités de plusieurs lieux en cas d’incident complexe. Elle devrait se situer assez près du lieu de l’incident pour assurer une intervention rapide, mais en retrait de la zone touchée.

Camp

Les camps disposent de l’équipement et du personnel nécessaire pour offrir des services de soutien (nourriture, eau, aires de repos et installations sanitaires). On peut aussi y trouver un espace dédié à des services mineurs de maintenance et d’entretien de l’équipement. Ce ne sont pas tous les incidents qui ont besoin de camps. Chaque camp a son chef, qui relève de l’unité des installations ou de la Section de la logistique, si elle a été mise en place.

Un camp doit être séparé de la base et situé dans la zone d’incident, dans un endroit stratégique. Il est possible d’installer plusieurs camps et de les déplacer selon les besoins opérationnels.

Base aérienne

La base aérienne est l’endroit à partir duquel les avions et les hélicoptères sont utilisés. Il s’agit le plus souvent d’une installation permanente, comme un aéroport. Elle peut servir à fournir du soutien aux opérations lors d’un incident (ex.: avitaillement, entretien).

Héliport

L’héliport est un emplacement désigné à l’intérieur ou autour de la zone d’incident où il est possible de poser, d’entretenir et d’avitailler les hélicoptères en vue des opérations relatives à un incident. Il est supervisé par un chef, qui relève du chef de la Section des opérations.

Héliport temporaire

Il s’agit d’un emplacement temporaire où les hélicoptères peuvent se poser, être avitaillés et déchargés (personnel, équipement, matériel) et d’où ils peuvent décoller. Les incidents importants peuvent nécessiter plusieurs héliports temporaires. L’héliport temporaire est supervisé par un chef, qui relève du chef de l’héliport.

Base maritime

Il s’agit de l’emplacement où les opérations maritimes sont coordonnées. La base maritime peut être permanente (dans une installation existante) ou temporaire et installée lors d’un incident. Elle est supervisée par le chef de la base maritime, qui relève du chef de la Section des opérations.

Centre des opérations d’urgence (COU)

Un centre des opérations d’urgence (COU) est une installation où les ressources et l’information sont coordonnées en appui au lieu d’un incident. Dans certains cas, comme lors d’un incident nucléaire ou d’une situation d’urgence sanitaire, une intervention peut être orchestrée depuis un COU. Les COU doivent disposer de systèmes technologiques et de télécommunications adéquats afin que la communication se fasse efficacement. Ils peuvent être de différents niveaux : Groupe municipal de maîtrise des situations d’urgence (GMMSU) ou groupe de maîtrise des situations d’urgence (GMSU) des communautés des Premières Nations, Groupe d’action ministériel (GAM) ou groupe créé pour faciliter la coordination à l’échelle de la province, comme le Centre provincial des opérations d’urgence (CPOU).

Centre d’information sur les situations d’urgence (CISU) ou centre commun d’information sur les situations d’urgence (CCISU)

Il s’agit d’une installation conçue spécialement pour la gestion de l’information sur la situation d’urgence et disposant de l’équipement nécessaire à cette fin. Une collectivité met habituellement en place un CISU pour coordonner les activités relatives à l’information sur la situation d’urgence : communiqués, réception des questions du public, rencontres avec les médias et suivi. Le CCISU peut quant à lui être mis en place pour permettre le partage des ressources entre plusieurs organisations, et réaliser ses activités depuis une installation commune.

Centre d’aide aux familles et aux amis

Un centre d’aide aux familles et aux amis est une installation sécuritaire située dans un emplacement central où les proches des victimes potentielles peuvent demander de l’information et recevoir différents services. Il s’agit souvent d’une initiative conjointe de plusieurs organisations, avec du personnel des services sociaux, d’organismes bénévoles et d’autres organisations non gouvernementales.

Le centre devrait être situé assez près du lieu d’incident, mais assez loin pour que les proches n’aient pas à passer par là pour se rendre au centre. Il devrait être facilement accessible; si le public ne peut pas y avoir accès aisément, il faut fournir le transport aux proches des victimes.

Autres installations requises

Il se peut que l’on ait besoin d’autres installations qui n’ont pas été mentionnées plus haut lors d’un incident. Chacune des principales fonctions peut nécessiter une installation distincte pour réaliser ses activités (installations de triage lorsqu’il y a un grand nombre de blessés, installations pour les personnes en deuil, centre de coordination des bénévoles).