Collectivement, ces sept parcours englobent une panoplie de possibilités d’apporter une solution globale à un problème très réel au sein des services de police, qui s’étend bien au-delà et bien avant tout incident particulier de décès par suicide.

Nous espérons que les dirigeants, les commissions et les fournisseurs de services en santé mentale des policiers et des associations tireront parti de ces possibilités et collaboreront sur les mesures particulières proposées ci-dessous. Nous croyons qu’une nouvelle culture policière peut voir le jour où le cycle complet de prévention, de reconnaissance, de divulgation pertinente, de soins et de traitement, de rétablissement et de réintégration peut se produire avec une plus grande ouverture, un plus grand succès et sans répercussion chez quiconque aux prises avec des problèmes de santé mentale, que ce soit en raison de facteurs de stress opérationnels ou organisationnels, ou de toute autre cause à l’intérieur ou à l’extérieur du milieu de travail.

Et, nous espérons que chaque policier, assermenté et civil, fera preuve du même courage que celui dont il fait preuve chaque jour au service d’autrui, afin d’adopter cette nouvelle culture plus ouverte et de s’y épanouir. Nous espérons que les membres actuels et futurs demeureront visibles afin que les autres puissent les aider, et qu’ils demeureront entièrement en contact avec leur famille et leurs amis ainsi qu’avec la vocation qu’ils ont choisie. Nous savons qu’il s’agit d’une vocation qu’ils ont à cœur, pour la vie.

Finalement, nous espérons que la discussion précédente et les 14 recommandations particulières qui suivent inspireront l’action détaillée et concertée pour la santé mentale des policiers qui est requise d’urgence en Ontario.