Les personnes qui ont subi un test de diagnostic de la COVID‑19 parce qu’elles présentaient des symptômes, mais dont le résultat est négatif, peuvent retourner à l’école si elles n’ont pas de fièvre, si leurs symptômes s’améliorent depuis au moins 24 heures, ou 48 heures pour les symptômes gastro-intestinaux (nausée, vomissements, diarrhée), et si on ne leur a pas ordonné de s’isoler, dans la mesure où elles n’ont pas eu de contact avec un cas confirmé de COVID‑19.

Si la personne symptomatique n’est pas testée, on présume qu’elle a la COVID‑19 et elle doit s’auto-isoler (y compris, si possible, des membres du ménage). Qu’il y ait eu un test ou non, la période d’auto-isolement doit commencer à la date de l’apparition des symptômes (journée 0) si les symptômes se sont manifestés avant l’obtention d’un résultat positif au test de dépistage.

Si la personne symptomatique n’est pas testée, elle doit s’auto-isoler (y compris des membres du ménage) pendant 10 jours. Qu’il y ait eu un test ou non, la période d’auto-isolement doit commencer à la date de l’apparition des symptômes.

Les personnes qui reviennent d’un voyage à l’étranger doivent se conformer aux directives et aux lois fédérales.

Pour retourner à l’école, il n’est pas nécessaire de présenter une note médicale ou une preuve de résultat négatif à un test de diagnostic.

Si une personne malade n’a pas la COVID-19

Si une personne malade a reçu un autre diagnostic connu établi par un professionnel des soins de santé, le retour à l’école peut être envisagé dans la mesure où cette personne n’a pas de fièvre et que ses symptômes s’améliorent depuis au moins 24 heures ou 48 heures s’il s’agit de vomissements ou de diarrhée. Elle devra continuer d’utiliser l’outil de dépistage de la COVID‑19 pour les écoles et les services de garde d’enfants, ou un outil désigné par le bureau de santé publique local, tous les jours avant de se rendre à l’école et pourrait avoir à confirmer qu’elle a effectué l’autodépistage avant son arrivée ou à son arrivée.