Figure 3A : Distribution des décès d’enfants par groupes d’âge (2016) et Figure 3B : Distribution des décès d’enfants par groupes d’âge (2017)

  • Les figures 3A et 3B illustrent la distribution par groupes d’âge du nombre annuel moyen de décès examinés par le BCC, comparé au nombre total de décès survenus en Ontario en 2016 et 2017. Toutes proportions gardées, les nourrissons sont le sous-groupe le plus représenté, suivi des adolescents.

Figure 4A : Pourcentage des décès d’enfants survenus en Ontario qui ont fait l’objet d’une enquête du BCC, par groupes d’âge (2016)  

  • La figure 4A montre qu’en 2016, le BCC a examiné environ 21 % des décès d’enfants de moins d’un an, 63 % des décès d’enfants d’un à quatre ans, 51 % des décès d’enfants de cinq à neuf ans, 59 % des décès de jeunes de dix à quatorze ans et 79 % des décès d’adolescents de quinze à dix-neuf ans.

Figure 4B : Pourcentage des décès d’enfants survenus en Ontario qui ont fait l’objet d’une enquête du BCC, par groupes d’âge (2017)  

  • La figure 4B montre qu’en 2017, le BCC a examiné environ 18 % des décès d’enfants de moins d’un an, 70 % des décès d’enfants d’un à quatre ans, 55 % des décès d’enfants de cinq à neuf ans, 78 % des décès de jeunes de dix à quatorze ans et 90 % des décès d’adolescents de quinze à dix-neuf ans.

Figure 5A : Modes de décès dans les enquêtes du BCC – Répartition par groupes d’âge (2016) et Figure 5B : Modes de décès dans les enquêtes du BCC – Répartition par groupes d’âge (2017)

  • Les figures 5A et 5B illustrent la répartition des modes de décès d’enfants et de jeunes ayant fait l’objet d’une enquête par un coroner en 2016 et 2017. Elles montrent que la distribution des modes de décès établis par un coroner de l’Ontario évolue en fonction de l’âge (de la petite enfance à l’adolescence). Les modes de décès « naturel » et « indéterminé » expliquent une importante part des décès d’enfants de moins d’un an, puis ils cèdent graduellement la place à des modes de décès non naturels (« mort accidentelle », « homicide » et « suicide »), qui sont plus fréquents chez les adolescents.